« Nous avons perdu la trace de plus de 130,000 réfugiés »,
a déclaré la chancelière allemande Angela Merkel dans une réponse au
parlement à une question d’un parti d’opposition cité par The Telegraph. Après avoir été enregistrés, « les personnes manquantes ne sont jamais arrivées dans les centres pour réfugiés qui leur ont été assigné par les autorités. »
Environ
13% des 1.1 million de migrants qui ont été enregistrés en 2015, selon
les derniers chiffres du gouvernement, ont disparu, exacerbant le risque
du terrorisme – que plus aucun média sérieux ne conteste après s’en
être moqué, et du crime organisé.
Selon la chancelière, « ces migrants ont probablement franchi la frontière avec de faux passeports » provenant de la même source que pour les djihadistes de Paris, et d’autres sont « entrés dans la clandestinité illégalement. »
La
crainte est bien entendu que parmi ces personnes qui ont disparu dans
la nature se trouvent des extrémistes islamistes ou des criminels qui
sont entrés dans le pays en se faisant passer pour des réfugiés. D’un
autre coté, le gouvernement allemand a fortement limité les conditions
d’accès à l’asile politique depuis quelques mois, et il est possible que
beaucoup aient disparu pour ne pas être renvoyés dans leurs pays.
Plus
tard, le ministre de l’intérieur a tenté de faire marche arrière sur la
déclaration de la chancelière Merkel, en affirmant que les chiffres ont
été exagérés par des erreurs de bases de données.
Puis ce vendredi, Tobias Plate, un porte parole du ministre de l’intérieur a déclaré que « cette
information n’est pas nouvelle ». “Le ministère a depuis un certain
temps constaté qu’un nombre significatif de réfugiés n’arrivent jamais
dans les centres d’hébergement.”
Les
empreintes digitales des migrants ne sont pas relevées. Leur identité
n’est pas confirmée, ce qui leur facilite grandement la possibilité de
s’enregistrer dans plusieurs lieux d’accueil, a expliqué le porte parole
– sans s’apercevoir qu’il révélait aussi qu’il n’existe aucun moyen de
savoir combien de terroristes infiltrés se trouvent parmi eux.
« Depuis, le gouvernement a mis en place de nouvelles mesures pour récolter l’identité des migrants à leur entrée dans le pays », a ajouté Plate.
Par
ailleurs, et vous allez comprendre pourquoi les deux faits sont
intimement connectés, au moins 10 000 « enfants réfugiés non
accompagnés » ont disparu après être arrivés en Europe, a révélé
l’agence criminelle de renseignement de l’UE citée par le quotidien de
gauche britannique The Guardian. Beaucoup sont probablement tombés entre les mains de trafficants, forcés à se prostituer ou réduits à l’esclavage.
« Ils ne sont pas cachés dans la forêt, même si certains peuvent s’y trouver, mais dans les villes, parmi la population », a expliqué Brian Donald,
le directeur d’Europol, qui a précisé que 5 000 « enfants » ont disparu
en Italie, et environ 1 000 en Suède. Il ajoute craindre qu’une
infrastructure criminelle pan-européenne sopistiquée les a ciblé.
“Il
n’est pas irréaliste d’affirmer que nous recherchons plus de 10 000
« enfants ». Tous ne seront pas exploités, certains ont pu rejoindre des
membres de leurs familles. Mais nous ignorons où ils sont, ce qu’ils
font, et avec qui ils sont.”
Enfants, vraiment ?
Vous avez cependant remarqué que j’ai partout employé des guillemets autour du mot « enfant ».
C’est
parce qu’un autre scandale longtemps caché est en train d’exploser, et
c’est l’âge réel des « enfants » réfugiés. Certains, affirmant avoir 14
ou 15 ans, mesurent plus d’un mètre quatre vingt, ils ont des poils sur
la poitrine, et ils se rasent tous les jours.
La
suspicion est plus que grande que des adultes qui profitent des grandes
facilités offertes par la législation européenne aux réfugiés mineurs
se font passer pour des adolescents, et que les services d’accueil
immigrationnistes ferment les yeux.
Ainsi,
sur la photo ci-dessous, les Suédois ont fait une moue dubitative en
découvrant le « jeune » irakien de 14 ans qui court le plus vite de
Suède :
Ou
encore cet « adolescent », Youssaf Khaliif Nuur qui prétend avoir 15
ans, mesure 1.83m et se rase la barbe et la moustache tous les jours :
“Dans
mon centre pour mineur non accompagnés, il y a beaucoup d’hommes qui
ont l’air d’avoir 32 ans mais qui disent en avoir 16,” déclare Jamal Hawilo, un arabe palestinien de 17 ans dont la voix qui n’a pas totalement mué confirme qu’il est vraiment adolescent.
“Le problème n’est pas le nombre, mais le fait que ces gens prétendent être des enfants », explique Mats Johansson, directeur du Stockholm Free World Forum,
think tank de droite et ancien membre de centre droit du parlement
suédois. “Des Afghans adultes ne sont pas des enfants, et ils n’ont pas
besoin d’être protégés,” ajoute-t-il, précisant que les agences
gouvernementales ont longtemps refusé de procéder à des tests médicaux
pour établir l’âge réel de ces « enfants » : “le gouvernement a pensé
qu’en cachant la fraude, le problème disparaissait.”
Et donc, une partie de ces 10 000 faux « enfants » viennent grossir le chiffre des adultes qui ont disparu dans la nature.
Donald
Trump a cent fois raison d’affirmer qu’il faut interdire aux musulmans
l’entrée aux Etats Unis tant que les agences ne savent pas exactement ce
qu’il se passe : charité bien ordonnée commence par soi-même, et les
dirigeants européens ont joué à la roulette russe avec leurs populations
en s’intéressant au sort tragique des réfugiés en méprisant
totalement la sécurité des Européens.
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