Le
sujet avait été abordé en novembre, quand Rouhani devait se rendre en
France – voyage annulé parce que d’autres islamistes que lui ont
massacré 130 Français – et Rouhani avait refusé de déjeuner avec le président s’il y avait du vin à table.
Le
président français, contrairement à Barack Obama qui a reculé après
avoir menacé Assad de représailles s’il franchissait la ligne rouge,
reste donc ferme sur le rouge.
Je m’interroge…
L’iran est le premier pays au monde per capita pour le nombre d’exécutions capitales – François Hollande ne dit mot.
En avril 2015, au milieu des négociations sur le nucléaire, le commandant de la milice Basij de la Garde révolutionnaire d’Iran a rappelé
que rayer Israël de la surface de la terre – donc génocider 7 millions
de juifs – n’est pas négociable, et Hollande n’a pas pipé mot.
L’iran
pend les homosexuels, persécute les femmes, et Hollande reste
silencieux – (et avec lui les grandes consciences de gauche).
In vino veritas
Il
aura donc suffit du divin liquide pour découvrir que le président n’est
pas le mou qu’on se plait à décrire, qu’il a une poigne de fer et des
nerfs d’acier.
In vino veritas, Hollande n’hésite pas à résister au dictateur islamiste.
Entre
le verre de rouge, dont son camp idéologique nous disait qu’il est le
signe humiliant réservé au beauf raciste et bas du front, et les
mirifiques contrats, Hollande n’a pas cédé au chantage et a soutenu
l’héritage qui insulte la diversité.
In vino veritas, François Hollande a révélé quelles valeurs ne sont pas négociables.
700 pendaisons
et décapitations, pas de problème, un nouvel holocauste, pas de
problème, les homosexuels pendus, les femmes lapidées, tout va bien.
L’identité française, pas touche et au diable le nous inclusif…
Et
cela explique le silence gêné des grands médias, qui sont restés fort
discrets pour ne pas dévoiler ce que défend – et ne défend pas –
le président français.
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